Democracy is an illusion! It’s become a political system fostered by the élite, for the élite, in order to fool the people that they have a stake in the system. In actual fact, they have virtually none. The whole political system in the modern era, despite having noble beginnings, is now used to benefit the few at the expense of the many. – Mark Alexander, June 29, 2018
Wednesday, 23 March 2022
Spring Statement: Sunak Warns Economy Could Get ‘Significantly’ Worse
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Eilmeldung: Putin: Russland akzeptiert für Gas-Lieferungen nach Europa nur noch Rubel
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Wednesday, 16 March 2022
Wie Spekulation ins Chaos führt | Doku
Mar 15, 2022 • Brot, Wasser, Öl, Wohnraum: Die für unser Leben wesentlichen Güter sind oft überteuert. Die hohen Preise haben unterschiedliche Ursachen, sie sind häufig der Spekulationen mit Rohstoffen geschuldet. Weltweit profitieren Finanzspekulanten davon, die Preise der wichtigsten Güter immer weiter nach oben zu treiben. Die Folgen: Wirtschaftscrashs, Revolten und sogar Kriege.
Überall auf der Welt, wo Menschen um die Befriedigung ihrer Grundbedürfnisse oder gar ums nackte Überleben kämpfen, brechen Konflikte, Revolten und Preiskriege aus. Die Tatsache, dass viele Menschen in Afrika, Asien und Lateinamerika nicht mehr das Nötigste zum Überleben erwirtschaften können, ist neben der Klimakrise einer der Hauptgründe für die weltweite Migration, bei der Millionen Menschen auf der Suche nach einem menschenwürdigen Leben ihrer Heimat den Rücken kehren.
Der Filmemacher Rupert Russell führt die Zuschauerinnen und Zuschauer an einige wichtige Schauplätze solcher Preiskonflikte: Venezuela, Irak, Kenia, Guatemala und ins Herz der Finanzmärkte, an die Wall Street, wo Finanzspekulanten die Preise für lebensnotwendige Rohstoffe in die Höhe treiben – mit zum Teil katastrophalen Folgen. Mit Hilfe der Metapher des sogenannten Schmetterlingseffekts erläutert der Dokumentarfilm, wie sich kleine Veränderungen auf den Rohstoffmärkten und Preismanipulationen auf die Lebensverhältnisse der Menschen weltweit auswirken können.
Führende Wirtschaftsexperten wie Jeffrey Sachs und der Nobelpreisträger Joseph Stiglitz erläutern, warum zahlreiche internationale Konflikte in den Rohstoffmärkten und den dort stattfindenden Spekulationen wurzeln. ARTE zeigt die Ursachen und Gründe für die weltweite Krise auf, die durch die Corona-Pandemie noch verstärkt wird.
Überall auf der Welt, wo Menschen um die Befriedigung ihrer Grundbedürfnisse oder gar ums nackte Überleben kämpfen, brechen Konflikte, Revolten und Preiskriege aus. Die Tatsache, dass viele Menschen in Afrika, Asien und Lateinamerika nicht mehr das Nötigste zum Überleben erwirtschaften können, ist neben der Klimakrise einer der Hauptgründe für die weltweite Migration, bei der Millionen Menschen auf der Suche nach einem menschenwürdigen Leben ihrer Heimat den Rücken kehren.
Der Filmemacher Rupert Russell führt die Zuschauerinnen und Zuschauer an einige wichtige Schauplätze solcher Preiskonflikte: Venezuela, Irak, Kenia, Guatemala und ins Herz der Finanzmärkte, an die Wall Street, wo Finanzspekulanten die Preise für lebensnotwendige Rohstoffe in die Höhe treiben – mit zum Teil katastrophalen Folgen. Mit Hilfe der Metapher des sogenannten Schmetterlingseffekts erläutert der Dokumentarfilm, wie sich kleine Veränderungen auf den Rohstoffmärkten und Preismanipulationen auf die Lebensverhältnisse der Menschen weltweit auswirken können.
Führende Wirtschaftsexperten wie Jeffrey Sachs und der Nobelpreisträger Joseph Stiglitz erläutern, warum zahlreiche internationale Konflikte in den Rohstoffmärkten und den dort stattfindenden Spekulationen wurzeln. ARTE zeigt die Ursachen und Gründe für die weltweite Krise auf, die durch die Corona-Pandemie noch verstärkt wird.
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Tuesday, 15 March 2022
Cryptomonnaies et appartements à Dubaï, les nouveaux investissements des milliardaires russes
LE MONDE : Certains oligarques cherchent à contourner les sanctions et la chute du rouble en transférant d’importantes sommes en cryptoactifs à Dubaï, où ils investissent dans l’immobilier.
Le centre-ville de Dubaï, le 15 mars 2022. AIJAZ RAHI / AP
Même pour Dubaï et sa population de multimilliardaires, l’appel était hors du commun. Et ce responsable d’une société de revente de cryptomonnaies, qui témoigne auprès de l’agence Reuters, s’en souvient très bien. « Il y a un type – je ne connais pas son identité, il est passé par un intermédiaire – qui appelle et nous dit, “je voudrais vendre 125 000 Bitcoins”. Je lui ai dit que ça faisait 6 milliards de dollars. Il m’a dit “oui, oui, on va les faire transférer par une entreprise en Australie”. »
Depuis le début de l’invasion russe de l’Ukraine, et l’effondrement du cours du rouble consécutif aux sanctions internationales, des milliardaires russes pensent avoir trouvé une solution pour protéger leur fortune et, pour certains, tenter d’échapper aux sanctions. A Dubaï et dans le reste des Emirats arabes unis, l’un des rares pays où les riches Russes sont encore bienvenus, ils investissent massivement dans l’immobilier, après avoir utilisé des cryptomonnaies pour transférer leurs fonds. » | Le Monde | mardi 15 mars 2022
Même pour Dubaï et sa population de multimilliardaires, l’appel était hors du commun. Et ce responsable d’une société de revente de cryptomonnaies, qui témoigne auprès de l’agence Reuters, s’en souvient très bien. « Il y a un type – je ne connais pas son identité, il est passé par un intermédiaire – qui appelle et nous dit, “je voudrais vendre 125 000 Bitcoins”. Je lui ai dit que ça faisait 6 milliards de dollars. Il m’a dit “oui, oui, on va les faire transférer par une entreprise en Australie”. »
Depuis le début de l’invasion russe de l’Ukraine, et l’effondrement du cours du rouble consécutif aux sanctions internationales, des milliardaires russes pensent avoir trouvé une solution pour protéger leur fortune et, pour certains, tenter d’échapper aux sanctions. A Dubaï et dans le reste des Emirats arabes unis, l’un des rares pays où les riches Russes sont encore bienvenus, ils investissent massivement dans l’immobilier, après avoir utilisé des cryptomonnaies pour transférer leurs fonds. » | Le Monde | mardi 15 mars 2022
Guerre en Ukraine : « Vladimir Poutine va détruire l’économie russe »
LE MONDE : Dans un entretien au « Monde », l’économiste Sergei Guriev, professeur à Sciences Po, souligne que les sanctions occidentales peuvent affaiblir le maître du Kremlin mais vont appauvrir le peuple russe, en particulier les moins aisés.
Professeur à Sciences Po, ancien économiste en chef de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD), Sergei Guriev a été l’un des conseillers économiques de Vladimir Poutine au début des années 2010, avant de s’exiler en France, inquiet pour sa sécurité, après avoir critiqué les arrestations d’opposants à la réélection du président russe, en 2012. Il explique pourquoi ce dernier a sous-estimé les sanctions occidentales. Et comment, privé de l’argent des hydrocarbures, il peinerait à poursuivre la guerre et à financer la répression dans son pays. » | Propos recueillis par Marie Charrel | mardi 15 mars 2022
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Professeur à Sciences Po, ancien économiste en chef de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD), Sergei Guriev a été l’un des conseillers économiques de Vladimir Poutine au début des années 2010, avant de s’exiler en France, inquiet pour sa sécurité, après avoir critiqué les arrestations d’opposants à la réélection du président russe, en 2012. Il explique pourquoi ce dernier a sous-estimé les sanctions occidentales. Et comment, privé de l’argent des hydrocarbures, il peinerait à poursuivre la guerre et à financer la répression dans son pays. » | Propos recueillis par Marie Charrel | mardi 15 mars 2022
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Monday, 14 March 2022
Russia Threatens to Seize Western Assets | DW News
Monday, 7 March 2022
Guerre en Ukraine : minée par les inégalités, la Russie se dirige vers une récession historique
LE MONDE : Sous l’effet des sanctions imposées en réaction à l’invasion de l’Ukraine, le produit intérieur brut russe pourrait chuter de 5 % à 10 % cette année.
« Dès les premières sanctions, ma mère a dit : “Surtout, fais le plein de médicaments”, raconte Youlia, une ingénieure moscovite, qui préfère garder l’anonymat. Nous avons vite compris qu’elle avait raison : tout ce qui vient de l’étranger va bientôt manquer. » Pour protéger ses économies face à l’effondrement du rouble, la jeune femme de 31 ans s’est précipitée en magasin pour acheter une poignée de bijoux et un ordinateur. « Cela vaudra toujours quelque chose. » Son frère Ivan, lui, s’est tourné vers les cryptomonnaies. « Mais, moi, je n’ai pas confiance. Si notre économie s’effondre, ce n’est pas avec des sous virtuels qu’on achètera du pain. » » | Par Marie Charrel | dimanche 6 mars 2022
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« Dès les premières sanctions, ma mère a dit : “Surtout, fais le plein de médicaments”, raconte Youlia, une ingénieure moscovite, qui préfère garder l’anonymat. Nous avons vite compris qu’elle avait raison : tout ce qui vient de l’étranger va bientôt manquer. » Pour protéger ses économies face à l’effondrement du rouble, la jeune femme de 31 ans s’est précipitée en magasin pour acheter une poignée de bijoux et un ordinateur. « Cela vaudra toujours quelque chose. » Son frère Ivan, lui, s’est tourné vers les cryptomonnaies. « Mais, moi, je n’ai pas confiance. Si notre économie s’effondre, ce n’est pas avec des sous virtuels qu’on achètera du pain. » » | Par Marie Charrel | dimanche 6 mars 2022
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Friday, 4 March 2022
European Shares Tumble, Commodity Prices Soar
THE GUARDIAN: European shares are sliding deeper into the red, after Russian shelling at a Ukrainian nuclear plant – Europe’s shares, commodity prices, biggest nuclear power station – led to a fire that burned for several hours, before being extinguished. The reactors are fine, according to the Ukrainian authorities, but this illustrates the dangers to a nuclear plant in a military conflict and has caused deep unease at the International Atomic Energy Agency. » | Julia Kollewe | Friday, March 4, 2022
Wednesday, 2 March 2022
Powell Says That Rates Are Headed Higher, Even As Ukraine Poses Uncertainty
THE NEW YORK TIMES: Federal Reserve Chair Jerome Powell said the central bank is likely to raise rates at its meeting this month, even with geopolitical upheaval.
Jerome H. Powell, the Federal Reserve chair, will tell lawmakers on Wednesday that the central bank is poised to lift interest rates from near zero at its meeting later this month as it embarks on an effort to cool down high inflation — even as conflict in Ukraine ramps up uncertainty.
“We expect it will be appropriate to raise the target range for the federal funds rate at our meeting later this month,” Mr. Powell said in testimony prepared for delivery to the House Committee on Financial Services. He noted that the Fed will move toward a “predictable” shrinking of its big bond holdings after raising rates, a move that will take additional steam out of the economy.
While Fed officials are prepared to use their policies to make money steadily more expensive in a bid to slow consumer and business demand, hoping to cool off today’s rapid prices, Mr. Powell added that the central bank must be poised to respond as Russia’s invasion of Ukraine looms large.
“The near-term effects on the U.S. economy of the invasion of Ukraine, the ongoing war, the sanctions and of events to come, remain highly uncertain,” he said. “We will need to be nimble in responding to incoming data and the evolving outlook.” » | Jeanna Smialek | Wednesday, March 2, 2022
Jerome H. Powell, the Federal Reserve chair, will tell lawmakers on Wednesday that the central bank is poised to lift interest rates from near zero at its meeting later this month as it embarks on an effort to cool down high inflation — even as conflict in Ukraine ramps up uncertainty.
“We expect it will be appropriate to raise the target range for the federal funds rate at our meeting later this month,” Mr. Powell said in testimony prepared for delivery to the House Committee on Financial Services. He noted that the Fed will move toward a “predictable” shrinking of its big bond holdings after raising rates, a move that will take additional steam out of the economy.
While Fed officials are prepared to use their policies to make money steadily more expensive in a bid to slow consumer and business demand, hoping to cool off today’s rapid prices, Mr. Powell added that the central bank must be poised to respond as Russia’s invasion of Ukraine looms large.
“The near-term effects on the U.S. economy of the invasion of Ukraine, the ongoing war, the sanctions and of events to come, remain highly uncertain,” he said. “We will need to be nimble in responding to incoming data and the evolving outlook.” » | Jeanna Smialek | Wednesday, March 2, 2022
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