LE MONDE: Il y a "une obligation morale" et "économique" à aider la Grèce, a affirmé Nicolas Sarkozy, vendredi 30 septembre, à l'issue d'une rencontre avec le premier ministre grec, Georges Papandréou, à Paris, car "son échec serait celui de toute l'Europe".
Peu auparavant, le premier ministre grec avait répété que son pays était "déterminé à faire les changements nécessaires" pour sortir de la crise, ajoutant qu'il était prêt à accueillir des experts pour vérifier ces efforts "en toute transparence".
Au lendemain du vote par le Parlement allemand du plan de sauvetage de l'euro, Nicolas Sarkozy a précisé qu'il se rendrait dans les prochains jours en Allemagne pour "accélérer" ce plan. "Il ne peut y avoir entre l'Allemagne et la France qu'une parfaite identité de vue pour résister à la spéculation, pour résister à l'emballement des marchés et pour protéger l'Europe", a dit M. Sarkozy. » | LEMONDE.FR avec AFP | Vendredi 30 Septembre 2011